Prières tirées de AMSG de Valentin Scavr.

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Je suis né de nouveau avec mon épée. Au-dessus du seuil des Abysses, je m'associe au Royaume de l'Enfer. Avec l'amertume de mes lèvres, je menace les vagues du Chaos. Je crois en Satan. Amour du diable et foi Mes châteaux règnent sur la mer des hommes. Honnêteté et fierté Mes rochers déchirent le voile céleste Ma nature et mon essence vivent pour magnifier Satan. À l’infini et partout poussent mes racines noires. Entre les langues de feu, je suis le vent immortel du Chaos soufflant sur le Souverain des Ténèbres, le Dieu Inhumain, qui transperce l'univers de Ta couronne, qui a enflammé de lumière nos terribles cœurs. Force Infinie des Ténèbres, Tout-Puissant Protogéniteur du Chaos, qui es notre immense source, qui a procréé la source diabolique et carnivore du Mal de nos âmes. Père, Ta majesté obscurcit la lumière du soleil d'Occident : et le groupe des démons consolide Tes pouvoirs paternels. Ta dureté et ton autorité, qui sont nos professeurs en mouvement vers toi : et notre devoir dans nos cœurs est ton image. Satan, avec nos esprits impies et nos âmes sombres, la compréhension de l'abîme de ton cœur, qui est notre voyage en ton nom et notre vertu, est la lutte pour ta plus grande gloire. Tu es le Prince des Ténèbres, l'Abîme des Diables, le Cœur du Chaos. Tu es le Primordial, Qui a créé les horribles monstres ; Tu es le Grand Esprit, qui a placé ton trône à la septième place, tu es notre Père, tu es puissant en toutes choses ; Tous les diables et les puissances de l’enfer t'honorent.

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Tu es le Prince des Ténèbres, l'Abîme des Diables, le Cœur du Chaos. Tu es le Diable, Qui détruit furieusement  tes ennemis : Tu es l'Adversaire de Dieu, Tu es l'Auteur du Mouvement : Tu es le Mal omniprésent, Qui est dans le cœur du roi ; Les ténèbres infernales dominent votre pouvoir. Tu es le Prince Draconien, l'Abîme des Diables. Cœur du chaos Tu es le chef qui inspire la bête sauvage et carnivore ; Tu es le Prince de la race Maléfique, Tu es le Principe de l'Honneur : Tu es le Grand Serpent, Qui transperce les âmes des hommes : Tu es le Roi invincible, Qui triomphe dans la Haine sur terre et au ciel. Vous êtes le Prince des Démons, l'Abîme des Diables, le Cœur du Chaos.

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 Nous nous révoltons contre le divin et l' humain Nous luttons pour le Mal Suprême et les Ténèbres Au nom de notre Père Nous luttons Dans la nuit nous réclamons notre liberté Dans la guerre contre les chaînes matérielles Nous nous levons Quand l' esprit infernal s'éveille dans la cruauté , mais dans la guerre nous apprenons la discipline et la défaite avec fidélité Nous préfigurons une victoire sanglante Dans un combat mortel nous menons des légions Nous usurpons les trônes des supérieurs

Dans nos cœurs nous allumons une violente colère Nous renversons les lois humaines et divines Nous sommes nés pour l'honneur et la liberté : Soit nous détenons ces choses, soit nous mourons dignement pour le Souverain de l'Enfer, Défenseur des méchants, Destructeur des trônes divins, Terreur des anges , Père des conflits éternels, Esprit rebelle, Tu es l'Obstacle, Toi Tu es la guerre universelle, le roi des bêtes sauvages, le dragon s'élevant dans les airs de la Géhenne. Fidèle à la foi, sûr de certaines choses, esprit colérique et impitoyable, qui place un autel inhumain au ciel et sur la terre, qui se lève pour combattre  avec une nation démoniaque, vos bannières sont rouges de sang. Nous te vénérons, Satan nous te glorifions, Satan nous t'adorons, Satan nous t'accueillons, Satan le créateur de la juste vengeance, Avec toi toutes les épées de l'enfer, À ta Gloire nous soufflons, En ton nom nous arriverons à la victoire, Gloire à Satan.

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Père Satan, toutes mes affaires t'appartiennent. En ton nom je crée et je détruis, je corrompt le divin et le commandement. Je décrète l'univers et proclame : Salut à toi, Père Satan, Salut à toi, Ténèbres éternelles EL le Mal suprême. Seigneur Satan, fortifie mon cœur, reçois mon cœur. Guide-moi, j'entre par le feu dans ton royaume. J'ouvre les yeux et regarde l'éternel dans l'oisiveté. Ma main droite était ouverte et ma gauche saignait. Je te donne du sang, je suis d'accord avec le brusque. Père Satan, Roi des hommes terribles, conduis-moi en Enfer.

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 Que le dieu des ténèbres se lève et enflamme l'univers. L'enfer viendra. Ceci et cela et le Christ sera plus douloureux. Ils briseront les sceaux des plaies.

Obscurité. Devant les portes de Ta domination, les gardiens surveillent de leurs yeux ; Dans le miroir des eaux abyssales se reflètent Tes choses démoniaques ; Avec la majesté des tempêtes les espérances célestes s'obscurcissent : La brume occupe la terre et les ombres perverses reviennent ; Les corbeaux de ton esprit ont conduit les gyres au-dessus des profondeurs : les dieux impies et le crépuscule maudit ont ressuscité ; Ta bouche est ouverte et des chants carnivores résonnent ; L’absence du soleil et de la lune est terminée ; Les dragons de l’Ouest sont vivants ; Dieu n'est pas capable de vous embrasser ; Les actes du diable sont sombres. Dans la lumière obscure...

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 Ô Mère Lilith, Mère des Démons, je T' appelle, je T'invoque... Reine des Ténèbres et de la magie impie, Ton visage est Nuit et Horreur, Ton cœur est le siège du Mal , Les dieux impies naissent dans ton fourreau ; Tes ennemis sont prosternés et détruits par ta sorcellerie. Ô Mère Lilith, Maîtresse de la Nuit, je T'invoque, je Te proclame... Le strix noir, Le prédateur nocturne du sang, Le Rapace aguicheur et séduisant, Le corrupteur, Regarde Ta vue et la violence des fantômes : Le battement de tes ailes frappe les ténèbres ; Ils ont opposé la procréation de ta sagesse à la lumière. Ô Grande Lilith, invoque les arts secrets, bats des ailes et commande au nom de Satan.

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Prières diverses

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En ces heures sombres, nos bouches murmurent une prière

nos âmes sont les miroirs de la mort

qui répandent la corruption lorsque on les contemple

nous sommes les disciples d'une église sans nom

nous sommes les disciples d’Armageddon,

avant nous existions déjà

après nous existerons encore

car notre credo signifie la rédemption dans le sang

grâce a l'eucharistie noire,

nous prions les saints des enfers

et recevons les sacrements du mal ultime.​

Gloire à Satan.

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Satan mon guide et mon père spirituel,

je maudis ma faiblesse, mais je lutte de toutes mes forces,

mes pensées vont vers toi, je ne vis que pour toi,

tu es la force qui me fait avancer,

tu es la violence des mots, qui m'ont libérés et ouvert les yeux,

Cruel professeur, tes leçons sont toujours apprises, et de mes larmes de douleur un nouveau moi,

sors de l'ombre, prêt a affronter le monde, pour toi !

Aux heures les plus sombres, ou l'homme dors dans ses villes dortoirs,

nous dansons et vivons, autour d'un feu, ce feu qui nous réchauffe, ce feu qui est un passage

et qui brûlera un jour le cosmos et le trône de Dieu,

Nous pourrons alors danser sauvagement sur les os pourris du Divin, à jamais!

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L'ivresse du mal.

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Les Ombres séductricesDans les plis sombres d’un ciel déchu,

Se cache un éclat, lumineux, inconnu,

La beauté du Mal, subtile et douce,

Éveille en l'âme des désirs féroces. Chaque tentation, chaque murmure obscur,

Effleure nos sens d’un parfum si pur,

Dans l’ombre des flammes, elle danse,

Promesse de frissons, de douce souffrance. Là où la vertu s’efface en silence,

Le vice fleurit, en pleine insolence,

Et dans ses bras, nous trouvons l’abandon,

Les chaînes du Mal sont des couronnes de poison.

 

 Le Baiser du Péché.

 

Le Mal s’avance avec un sourire subtil,

Dans ses yeux, un éclat, cruel et fragile,

Ses lèvres, rouge sang, distillent le poison,

Mais c’est dans sa morsure que naît la passion. Les délices du vice, en secret, se dévoilent,

La vertu s’efface, trahie par l'étoile,

Qui brille en nos cœurs, attirés par l’abîme,

Là où le Mal s’offre en un doux régime. Les fruits interdits aux saveurs inégalées,

Sont plus sucrés encore que la lumière voilée,

Dans l’ombre, on trouve le plaisir interdit,

Et l’ivresse du Mal, infinie, nous bénit.

 

L'Éclat du Serpent.

 

Sous les voûtes du ciel de cendres et d’or,

Le serpent ondule, porte le trésor,

D’un Mal ancien, doux comme la soie,

Qui fait frémir l’âme, réveille la foi.La beauté des ténèbres, impérieuse, se pose,

Offrant au cœur des vertiges et des roses,

Chaque caresse est une promesse trompeuse,

Mais chaque baiser est une brûlure précieuse.Pourquoi craindre les feux des enfers,

Quand dans leurs flammes, nous dansons légers ?

Le Mal est doux, comme un vent nocturne,

Et dans son souffle, nos cœurs se consument.

 

 La Couronne du Vice.

 

En toi, je trouve une beauté si rare,

Un éclat sombre, une couronne de noir,

Chaque épine me pique de désirs ardents,

Ton Mal est un fruit que je croque, enivrant. Que m’importe le paradis lointain,

Quand le vice me tend ses mains ?

Les plaisirs défendus, suave poison,

M’enlacent, m’ouvrent à la déraison. Tes yeux, braises dans la nuit profonde,

Dévoilent une beauté qui inonde,

Et dans ton étreinte, je me perds,

Devenant à jamais l’enfant de l’enfer.

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La succube.

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Elle s'avance la succube au sourire de miel,

Elle effleure les rêves, murmure à demi-mot,

Ses ailes de nuit battent, éteignant le ciel. Ses lèvres promettent des plaisirs infinis,

Son souffle enivrant, parfum de noir désir,

Sous ses caresses, les âmes, en frénésie,

S’abandonnent aux abîmes du plaisir. Elle dévore l'âme, doucement, sans regret,

Ses griffes invisibles gravent sur la peau,

Des traces éternelles de luxure et de rêve,

Dans cette danse où la chair devient chaos.

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 L'Étreinte des Ténèbres.

Dans la chambre rouge où la lune se voile,

S'élèvent des soupirs, des murmures sans fin,

La succube, amante des ombres fatales,

Rôde, invisible, dans l’éclat assassin. Sa beauté éphémère, d'une grâce impie,

Porte en elle la chute, l’abandon ultime,

Ses baisers sont promesses de douce agonie,

Où l'âme, condamnée, lentement se déprime. Sous ses doigts, le monde des sens s’effondre,

La décadence des corps s’unit aux flammes,

Et dans l’abîme des plaisirs qui se fondent,

Elle laisse les cœurs brisés, noyés de larmes.

 

Les Larmes du Vice.

Elle vient la nuit, dans un manteau de soie,

Silencieuse, luisant d'un éclat sensuel,

Ses pas résonnent dans les brumes de froid,

Où elle cueille des âmes sous son ciel cruel. Lentement, elle distille le poison des sens,

Transformant l’innocence en fruit du péché,

Ses charmes corrompent, dans une danse intense,

Où les vertus s'effacent sous le souffle fané. Les mains s’enlacent dans un ballet de feu,

Les corps, en sueur, se perdent et s'oublient,

Et la succube sourit de son sourire bleu,

Sur les ruines du plaisir, où tout est fini.

 

La chute.

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Sous la lune blafarde, elle attend, silencieuse,

Aux portes des rêves, elle plante ses griffes,

Elle murmure des promesses pernicieuses,

Son corps, brûlant, déchire l’âme captive. Dans le tourbillon des plaisirs déliquescents,

La chair s’enflamme, la raison se dissout,

Elle mène à la chute, en de sombres accents,

Où l’esprit se noie, où tout devient flou. La succube danse, dans les vapeurs fauves,

Et les sens s’égarent sous son pouvoir fou,

Elle règne, impassible, dans la décadence,

Laissant les cœurs brisés sous un voile doux.

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L'Amant des Abysses.

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Dans les profondeurs où les ombres se tordent,

Se dresse le Diable, à l’aura envahissante,

Ses yeux, braises éternelles, brûlent sans remords,

Et son sourire offre une promesse déroutante. Il murmure aux cœurs brisés des mots doux,

Des paroles teintées de souffrance et de miel,

Ses bras s’étendent, les emportent au bout,

Là où l’amour se mêle à la flamme du ciel. Ô doux amant des ténèbres immenses,

En toi je plonge, en quête d’un éclat,

Laisse-moi goûter à la danse intense,

Où l’âme se perd dans ton sombre éclat.

 

 La Caresse du Mal.

 

Dans les plis noirs du manteau du néant,

Le Diable rôde, séducteur éternel,

Ses mains glacées, pourtant brûlantes de sang,

Touchent l’âme, la rendent irréelle. Il ne connaît pas l’amour qui s’éteint,

Son cœur bat au rythme des étoiles mourantes,

Et dans ses bras, le désir est un chemin,

Où les cœurs brûlés s'égarent, haletants. Sous son baiser, tout s’efface et se consume,

Les âmes dansent, aveugles dans la nuit,

Car son amour, parfumé de rancune,

Est une flamme noire qui jamais ne s’enfuit.

 

 Les Noces Infernales.

 

Dans l’obscurité, le Diable m’attend,

Sous la lune rouge, où les étoiles pleurent,

Son regard transperce l’éther et le temps,

Et sa voix douce chante des douleurs.Il m’offre son cœur noir, son sourire froid,

Et dans cette étreinte où tout se dissout,

Je deviens sienne, esclave sans effroi,

À genoux devant l’amour le plus fou.Nos âmes se mêlent, dans cette nuit fauve,

Les flammes autour de nous forment des anneaux,

Car l’éternité n’est plus une épreuve,

Dans les bras du Diable, tout devient beau.

 

 Le Pacte de Minuit.

 

À minuit sonne l’heure des promesses,

Lorsque le Diable sort de l’ombre glacée,

Il tend sa main, promesse de tendresse,

Et ses mots sombres sont un baiser glacé. Sous le ciel tissé de brume et de mort,

Je signe le pacte, aveuglée par l’espoir,

Car son amour, cruel et plein de sort,

Me promet l’éternel sous un voile noir.Et dans cette nuit, nos cœurs sont des flammes,

Brûlant d’un désir qu’aucun dieu ne freine,

Car aimer le Diable, c’est aimer l’infâme,

Un amour où chaque douleur devient reine.

 

 Les Ombres du Désir.

 

Sous la voûte noire du ciel déchiré,

Le Diable danse, entouré de lumière,

Ses pas résonnent, et tout semble figé,

Sauf mon cœur, brûlant de son mystère. Il est le prince des amours maudits,

Le maître des nuits sans fin et des peurs,

Et pourtant, c’est lui que je choisis,

Pour ses baisers de cendres et de fleurs. Dans ses bras, je sens le monde se perdre,

Tout devient rêve, et tout devient nuit,

Mais dans ce chaos, il me laisse entrevoir,

Un amour noir, infini, mais inouï.

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